Bienvenue Good-hony,
je pense que tu n'as pas compris ce que nous recherchons, nous sommes une guilde maniant le role-play et tu ne nous a rien montré de cela dans ta candidature et de plus tu as oublié un élément prouvant ta lecture du grimoire. Je te conseille de revenir sur ta candidature si tu veux franchir nos portes embrumées.

Ps : On dit joaillomage* =p

Angelback

Bonsoir,
donc pour ton herpé tu dois le publier sinon tu ne seras pas accepté et je ne vois pas une chose importante ... relis (ou lis) le grimoire

Bonsoir a vous,

Je n'arrive pas a modifié mon message, je vais donc faire ce que vous me demandez a la suite:

D'une part un des plus importants:
« Moi, [Nom], jure allégeance au monarque de la brume et à son royaume.
Que la brume m'emporte si je faillis à cette tâche. »

Et mon RP, le voici (Bonne lecture ! ) Les noms des personnages ont été inventés (sauf le mien) ainsi que celui de la guilde.
Et au niveau des équipements, aussi ^^'.

29 Aperirel 624

Un cri de douleur se répercuta sur les remparts de Bonta. Dans une petite chaumière près de la ville des anges, la maisonnée était en pleine effervescence : ma mère, une frêle et douce eniripsa se tordait de douleur sur la table de la cuisine. Mon père, un adepte de la déesse des bienfaits lui aussi, s’affairait à côté d’elle, tentant de soulager ses douleurs… en vain. Cela ne se passait pas comme prévu… Elle n’aurait pas dû avoir aussi mal, sa magie était inefficace. A ce rythme-là elle sera morte avant d’avoir eu le temps d’accoucher, ça ne sentait pas bon du tout… Le pauvre homme commença alors une longue prière auprès de toutes les divinités du panthéon :

- S’il vous plaît ceux d’en haut! Venez-nous en aide! Ma femme est sur le point de mettre au monde mon enfant et je ne peux rien faire pour l’aider! QUELQU’UN ! …S’IL VOUS PLAÎT !

Une belle femme aux longs cheveux ébouriffés, recouverte de sang, se matérialisa alors devant le couple.

- Je suis Sacrieuse et j’ai ressenti votre souffrance. Je peux vous venir en aide mais à une seule condition… Que votre enfant renie ses origines et me voue un culte. C’est le seul moyen…
- Tout ce que vous voudrez! supplia mon père pleurnichant au chevet de son épouse, pâle comme la mort.

La déesse esquissa un petit sourire sadique et la salle se retrouva baignée d’une nébuleuse lumière rouge sang. Un horrible cri, le dernier, se fit entendre emplissant l’air ambiant d’une douleur pure.
Puis des cris, MES cris. La déesse avait réussi! Mon père se prosterna devant la céleste créature et pleura toutes les larmes de son corps.

-Merci! Mille mercis! Vous avez sauvé les deux personnes qui comptent le plus au monde pour moi ! Je vous suis reconnaissant pour l’éternité! Comment pourrais-je vous remercier?

- Vous l’avez déjà fait dit-elle, disparaissant mystérieusement.

Mon père continua de pleurer de joie pendant quelques secondes puis se ressaisit et me donna les premiers soins. J’étais maculé de sang aux bras et sur le visage mais je respirais. Mon père se tourna alors vers ma mère. Elle dormait, le visage paisible, ses cheveux collant à son beau visage.
Soulagé, il entreprit alors de me débarbouiller… Rien à faire… le sang ne partait pas. Inutile. Effrayé, il recula d’un pas et bredouilla :

- Mais…il..il…c’est un sacrieur?! Oh non… Qu’est-ce que j’ai fait?? Mon père était un homme peureux et il ne voulait pas déshonorer sa famille…
On ne peut pas le garder… Un sacrieur chez nous, hors de question! s’exclama-t-il, oubliant que sa femme devait la vie à leur déesse… C’est la classe qui nous ressemble le moins…avec les srams…et puis les enutrofs aussi…et aussi les sadidas… En fait, aucune classe ne se ressemble… Mais bon, avoir un sacrieur chez nous, notre fils qui plus est, ça ferait jaser les voisins… Je l’entends déjà d’ici la vieille toupie de Madame Grumot! : ‘Beuah!!! Un sacri’ ici?? Pas de ça chez nous ! Pas question de le laisser nous approcher. Ces racailles-là, plus qu’ils sont éloignés de moi et bah…plus que c’est mieux!
De mon temps il aurait été inconcevable de laisser un de ces garnements rôder près de la sainte ville…’
Il vaut mieux l’envoyer loin de nous. Je ne veux pas perdre mon travail à la pharmacie à cause de ça!

Il partit fouiller dans son bureau quelque temps et revint peu après, une carte du monde des 12 à la main.

- Hum… Quel est l’endroit le plus éloigné de nous? se demanda-t-il. Après un court moment de réflexion, il pointa triomphalement de son doigt fin une île située à l’est de la carte.
- Pandala bien sûr! Par contre…bonjour les frais de transport… Quoique! Vu qu’il est léger comme un Bouftou désossé je pourrais l’envoyer là-bas par Tofu-relais. Mais il ne faudra pas en souffler mot à ma petite femme, si elle savait ce que je m’apprête à faire, c’est la crise cardiaque assurée et eniripsa ou pas, un mot de reconstitution ne suffira pas à la sauver!

Se sentant satisfait de son choix et n’ayant aucun remords, il repartit veiller sur sa femme oubliant que son fils gisait toujours sur le parquet en bambou édition limitée spéciale Feudala qu’il avait acheté des années plus tôt, à un prix très raisonnable, chez un marchand ambulant que je ne recommande pas, d’ailleurs, pour de multiples raisons… Mais je m’écarte du sujet, excusez-moi. (Et aussi pendant que je suis encore maître de mes pulsions écrivaines pensez à faire le plein de café ou de jus d’orange pour rester éveillés parce que il y a encore du texte après. *grand sourire sadique*.)

Donc, maintenant, vous savez tout des circonstances de ma naissance… Petits veinards! Vous ne me connaissez pas encore et, vous savez déjà qui sont mes parents et tout et tout… Moi, je l’ai su bien plus tard grâce à un incroyable concours de circonstances du à une prophétie qui incluait un enutrof unijambiste des forêts de bonta, une mystérieuse tranche de jambon et 12 statuettes divines.

Bref. Passons maintenant à mon enfance. Bon, j’avoue je m’en souviens pas beaucoup à part que tout petit, je me saoulais déjà à la liqueur de Bambou doré (parce que je le vaux bien), je tirais la queue aux Kitsous et foutais le feu aux Bulbuissons. Quoi, c’est pas bien? Ils avaient qu’à pas être là d’abord! Et puis ils m’avaient tiré la langue…
Enfin ça, c’était avant le drame… Un jour mon maître, Pandiwan Kenobi, vint s’asseoir à côté de moi, son regard empli de sagesse rivé vers le mien et, me tint ce discours :

- Hony. (C’est moi hein? Je précise parce que je l’ai pas encore dit alors…) J’ai envie de… *beuargh*……. Et ouais… les maîtres pandaï sont plus ce qu’ils étaient… en plus son sabre était même pas laser… M’enfin bref, donc après qu’il ait aspergé mes mocassins en peau de Cooleuvre tout neufs il continua son fantastique récit épique :
- Hony. Tu es devenu un fier guerrier. Tu n’as peur de rien et tu es courageux. Un peu iop aussi mais bon, tout le monde a ses défauts. Tu as la force en toi. Et aussi un peu d’agilité, de chance et d’intelligence enfin presque pour la dernière… Je n’ai plus rien à t’apprendre. Ce soir tu seras officiellement un homme. (enfin… un sacrieur) Tu seras libre de quitter cette île et de partir à l’aventure dans les terre d’Amakna et alentours. Sache que j’ai été très fier d’être ton maître. Tu as été mon meilleur sacriwan… le seul aussi mais bon. Que la chance t’accompagne. Que la paix règne dans ton cœur. Et que les étoiles veillent sur toi.

S’ensuivit une poignée de mains virile (de pattes dans son cas), une bonne claque dans le dos et il m’offrit un des plus beaux pots de chambres que j’aie jamais vu : un Su-per-be Holoune over jet de la mort qui tue. Puis, je fis mes adieux au pays des Bisou… à Pandala … après plusieurs tournées générales du patron de la taverne du pandawa ivre bien sûr.
Je partis ensuite, un baluchon sur l’épaule fredonnant un air de Francisque Kabroule.

Je parcourus Amakna en long, en large et en travers, m’arrêtant régulièrement aux tavernes pour étancher ma soif. Par contre, j’évitais toujours Bonta. Je savais pas pourquoi : c’était viscéral. Les gros donjons aussi, j’aimais pas trop avec tous ces gens qui criaient autour… Par contre, j’adorais passer du temps dans les bois de Litneg. Passer du temps à massacrer des Milimulous, des Mulous et des Trools innocents. D’ailleurs, c’est ici que j’ai déniché ma Baguette des Limbes. Comme l’ancien proprio s’était fait dévoré par l’un d’eux, parce qu’il dansait la tektounik aussi bien qu’un iop est balaise en orthographe, j’ai préféré ne pas engager de slow avec les Trools, ils sont si impulsifs parfois… des fois ils nettoient leur massue et le coup part tout seul et, dans ce cas-là, je ne donne pas cher de votre peau.
Arrêtons là ce doux moment de nostalgie tout de suite pour…revenir en arrière (J’aurais votre peau!). En effet, j’avais oublié de vous parler de l’histoire que les pandawas m’avaient raconté au sujet de ma naissance. (Excusez-moi pour cette petite panne de mémoire, l’alcool a des effets néfastes chroniques sur moi. Encore à cause de Pandala et ses fêtes de la bière qui ont lieux tous les…deux jours.) Donc retour dans le passé : J’arrive sur l’île, patati patata, je me souviens plus trop de mon enfance, bla bla bla...
Les pandawas m’avaient d’ailleurs raconté une histoire un peu tirée par les poils pour expliquer ma naissance et ma différence.

= ‘Alors euh… tu es né grâce à l’union du Bulbig et du maître Pandore qui ont effectué un rituel païen d’invocation dans un pentacle tracé avec de la poudre de riz à 7h06 du matin tandis que les Bambous jouaient à saute-Bouftou tout en chantant du Francisque Kabroule (encore lui !). Ensuite, ils ont craché dans le pentacle 6 fois chacun , ont ajouté des excréments de Péki et voilà, tu es apparu!’
Hum hum… Ouais bon, j’y ai cru et alors?…
Et c’est ainsi que erg hropdf p pporjpd jjlodzep jj pkrjd posad! ( Bha quoi? De toutes façons personne a réussi à lire le texte jusqu’ici sans avoir eu envie de sauter du haut de la tour de Brâkmar avec un gros boulet attaché aux pieds alors j’ai bien le droit de me défouler un peu…)
Et c’est ainsi que j’ai terminé mon tour du monde des 12 en 79 jours et quelques (Pouahahahah record battu!). Bon, après j’ai fait quelques croisières sur les îles avoisinantes, genre île des Wabbits…
Le gentil organisateur m’avait dit : ‘Repas et boissons comprises! Offre en or!!! L’hôtel est seulement à 666 kamas par nuit!
Pour plus d’infos allez vite sur [i]croisierewabbit.tk!
Bon, je dois avouer que passer une semaine à dormir dans un terrier en broutant des cawottes c’est pas super super… D’ailleurs, à la fin du voyage, je me sentais un peu bizawwe, comme si j’étais devenu une autwe pewsonne je sais pas si vous voyez…
Dès que je suis rentré de ce voyage je me suis pris des vacances à l’île de Moon pour souffler un peu…
Bronzette, sable fin, noix de kokoko à volonté tout ça…

C’est à ce moment précis de l’histoire que je me suis mis à penser que j’étais peut-être un peu seul…
Solitude… *un Corbac passa au dessus de moi en croassant : ‘Baka! Baka!’
Donc, de retour sur le vieux continent, je me mis à chercher activement une guilde avec de vrais gens dedans. En marchant au dessus d’Astrub, près du campement des bandits, je fis une rencontre qui bouleversa toute ma vie *tousse tousse*. Pardonnez moi c’est le chaud et froid ça.
Donc je disais… je me promenais dans la forêt, tout était normal : les crâs farmaient les monstres, les paysans fauchaient et les iops insultaient… Mais subtilement le vent tourna, une très légère odeur arriva à mon nez (si j‘en avais eu un), je sentis comme… une aura meurtrière très proche… Nullement impressionné, je gardai mon sang-froid j’armai mon marteau et pris une position de combat.
Pour tout vous dire, j’avais un peu les pétoches, l’ambiance c’était un peu le prélude à l’ouverture des portes de l’enfer quoi… De longues minutes s’écoulèrent, mes bras commençaient à s’ankyloser … Quand je me retrouvai subitement avec une dague glacée appuyée sur ma gorge.
- Bonjour. ‘Il’ m’enfonça son épée dans la gorge d’un geste rapide et précis. …

Désolé je suis pas mort : j’avais mon amulette du Chène Mou pour me protéger.
Mais bon, elle a quand même fini sa course dans mon épaule, plantée jusqu’au manche dans l’os.

Un frisson de plaisir me parcourut alors l’échine… Hummmmmm… ça fait du bien…

- Par Pandawa! Il en redemande le bougre! S’écria celui qu’on nomme Abraham. J’voulais te tuer mais apparemment t’aimes ça… Tu pourrais être une bonne recrue pour ma guilde toi !

- Trop jeune. Dit alors un vieil enutrof qui alla se placer à droite de Monsieur Abraham.
- Leura… Ce que tu peux être rasoir des fois…

- Hey crâne d’oeuf! On parle mieux aux vétérans!

- Je te préfèrerais mort. *Il dégaina son épée*

- Hey on se calme vous deux! intervint un sacrieur qui était resté jusque là dans l’ombre. C’est un confrère sacri’ continua le dénomméFlack-tueur. Il pourrait nous être utile et puis il a l’air de savoir se battre.
*Hony tombe comme une bouse de Minotot et se vautre dans une flaque de boue, souillant encore plus sa Puissante cape Fulgurante* … En fait nan… mais c’est pas grave il a au moins l’air résistant et puis ça me fera de la compagnie parce que c’est pas très très marrant avec vous…

- Bon… répondis-je en arrachant l’épée de mon épaule avec un gémissement de bonheur. Ch’ais pas de quoi vous parlez mais j’ai bien envie de me joindre à vous, j’me sens un peu seul ces derniers temps…

- Bienvenue dans Serah d’en Vaquer alors ! s’écria Monsieur Abraham souriant de toutes ses dents avec un regard chaleureux.

- Ouais bienvenue machin… Marmonna fran-tor
- Hony !

- Pareil… De toutes façons les jeunes, que des petits cons…
*Hony lui asséna un bon coup de marteau sur son crâne chauve et recouvert de rides.*

- Hey! Je t’aime déjà! S’exclama Flack-teur.

- Pas moi… Dit le vieux se relevant difficilement.

- Je crois que c’est le début d’une belle amitié qui commence! déclara alors Rayand.

Et c’est ainsi que je rejoignis les rangs de Serah d’en Vaquer
Nous partîmes gaiement bras dessus bras dessous retourner au château, nous nous mariâmes et eûmes beaucoup d’enfants!


FIN!




Ou pas, désolé du faux-espoir.

Sur le chemin du retour (retour vers quoi on ne sait pas mais on y allait bon train), nous avons traversé des blizzards hurlants, des désert cuisants, un petit village peuplé de jeunes Bworks et une invasion de wabbits cwétins. Voyage ponctué par de nombreuses haltes aux tavernes du coin évidemment. Après quoi, nous sommes rentrés chez Rayand qui habitait une petite maison à Otomaï dans un quartier très tranquille. Une fois reposés de nos aventures et de nos gueules de bois nous avons combattu un peu (ENFIN!).

C’est avec joie que nous avons éradiqué la lignée des Blops royaux, transformé en carpette le Meulou, renvoyé à l’état de plante verte l’Abraknyde Ancestral et glacé d’effroi les Boufmouths en tout genre. J’aurais pu aussi ajouter mes petites mésaventures solo telles que le génocide des Mulous, la malédiction du donjon Scarafeuille, l’enfermement au donjon Tofu (Qui a dit salle du labyrinthe où nous pouvons apercevoir de nombreux spécimens de tofus-qui-se-mettent-pile-à-l-endroit-ou-il-faut-pas-se-mettre-et-y-restent-1-heure?) et le minage des Craqueleurs des plaines mais ça aurait fait un peu long et je voudrais terminer mon histoire avant l’an 642.

Ah j’vous ai pas dit mais j’me suis mis bontarien entre temps (J’suis en train de perdre mon public là… déjà qu’il y en a pas beaucoup qui ont tenu jusque là…) sous l’impulsion de mon conseiller financier entre autres. Aussi parce que c’était plus facile à l’époque pour exploser du Zoth…
Lors de mon temps perdu, j’appris à chasser… et c’est ainsi que démarra le massacre tofusien (paix à leur âme…). Avec la quantité d’œufs récoltés, j’aurais pu préparer suffisamment d’omelettes pour rassasier les joueurs de la B.C Trool… c’est pour dire! Et… au fait tant que j’y pense… avez-vous déjà vu un boys band de tofus? Moi oui! (Bon OK j’arrête…)
C’est d’ailleurs pendant cette extermination systématique de chaque volaille croisée que mon esprit s’est perverti progressivement : à force de broyer des créatures innocentes à tour de bras, de les saigner afin de boire leur sang puis d’arracher leurs ailes pour ma collection, je suis passé du côté obscur de la force! Si mon maître me voyait…

Décidé à frapper un grand coup contre la cité des anges, je me mis à préparer un plan machiavélique…

- HA HA HA HIPPA-HIPPA HO! Ti hi tort tort tort! Hot tcha ha ha! Sniggle hi! Ha! ( C’était un rire démoniaque pour ceux qui auraient pas compris. ) En effet, une idée avait germé dans mon esprit, venue tout droit de Rushu. Dès le lendemain, je mis mon plan à exécution…

L’aube n’avait pas encore pointé le bout de son nez, la brume serpentait entre les chaumières, le Tofu Royal n’avait pas encore chanté, un étranger tout de plumes vêtu pénétra dans Bonta… (L’étranger, c’était moi hein? Nan mais je précise au cas ou…) Arrivé à la milice, il enleva prestement sa tenue d’infiltration et se glissa subrepticement dans l’ouverture. Un tohubohu infernal lui parvint alors aux oreilles. Il crut qu’il allait devenir marteau. C’était Amayiro qui ronflait…
Parfait… tout se déroule comme prévu. Il se faufila jusqu’à son lit pour y voler ses chaussures et les cacha dans un endroit improbable où il allait en chier pour les retrouver!…
D’ailleurs, pour la petite anecdote, vous vous êtes déjà demandés pourquoi Amayiro avait une canne?
Tout simplement parce qu’il a très mal au dos à force de se pencher pour chercher ses chaussures…
Brâkmar vaincra!
Bien, bien, bien, continuons notre histoire : Après avoir commis ce méfait de la plus haute cruauté passible de la peine de mort par décapitation, notre étranger (c’est encore moi aussi) se dirigea vers la banque, toujours avec la plus grand discrétion bien entendu pour mettre en place la 2ème partie de son plan… Il se glissa par-dessus le comptoir, déroba les relevés de comptes de ces banquiers corrompus et les remplaça par des faux, remplis d’inepties… hin hin hin, ça allait être la panique à Bonta… Fier de son 2ème crime, il passa à la dernière partie de son plan. Il retourna à la milice récupérer ses vêtements d’espion puis se dirigea vers la sortie principale. Il farfouilla quelques secondes dans une de ses poches et en sortit une bombe de peinture couleur Piou rose. Puis il tagua en grosses lettres bien baveuses sur les remparts :
AUX CHIOTTES BONTA, ALLEZ BRÂKMAR!!!
Puis il fila, aussi discret qu’un sram, directement vers les landes de Sidimote.
Il traversa les blizzards hurl… ouais nan je l’ai déjà dit ça. Donc après avoir traversé d’une traite Amakna du nord au sud, sans s’arrêter à toutes les tavernes cette fois, il arriva aux landes de Sidimote, se déshabilla promptement et revêtit une cape et un bonnet noire histoire de ne pas se faire repérer par les gardes de Brâkmar qui sont beaucoup plus perspicaces que les gardes de Bonta, évidemment.
Bon, je vais reprendre le récit à la première personne là parce que c’est trop compliqué et tout…
Les gardes brâkmariens, me prenant pour l’un des leurs, me laissèrent passer… Ahhhhhhh… j’aime déjà mieux le décor! Ca change des vertes prairies et du beau ciel bleu qu’on pouvait observer à Bonta. J’ai toujours préféré le rouge et le noir, j’ai été servi : champs de laves à perte de vue, bâtisses ténébreuses, traces de sang un peu partout… C’est tout ce que j’aime! Bien décidé à servir cette belle cité je me hâtai vers la milice pour y rencontrer le fameux Oto Mustam afin de m’enrôler dans la célèbre garnison brâkmarienne. Il n’y vit pas d’inconvénients, me fit passer une batterie de tests pour vérifier que j’étais pas complètement idiot. Je les ai passés haut la main, ayant un Q.I de 164 (presque...). Je fis le serment d’être toujours fidèle à Rushu et Djaul, de défendre la cité démoniaque jusqu’à la mort et de trucider la veuve, l’orphelin, le pauvre et l’opprimé que les serviteurs du bien essayent de défendre.
Pour fêter la nouvelle orientation que prenait ma vie, je décidai de me diriger vers un coin paumé d’Amakna : le QG de la guilde une taverne où j’étais sûr de trouver Abraham, la demi portion et Flack-teur...

FIN c’est pas trops tôt !

..... Je n'y arriverai jamais je crois:
« Moi, [Good-hony], jure allégeance au monarque de la brume et à son royaume.
Que la brume m'emporte si je faillis à cette tâche. »


Excusez-moi pour tout ça.....mais bon le nom ne s'y est pas mis =s

Bon rien à dire c'est nettement meilleur que la première fois mais tu as écrit ça en combien de temps car tu pourrais me surprendre =o.

Angelback

Alors Angel, pour tout te dire j'y est passé 2heure a tout casser ^^', a l'époque (l'année dernière) je l'avais écris en rédac' pour le collège je l'ai trouvé sympa, je l'ai donc mis en mode *dofus*.
Je l'ai modifié tout a l'heure ^^'.

A bientôt !

Moui mais quand tu arrives à un certains moment c'est examens examens et examens bref on sort un peu du sujet là.
Un vote va se dérouler dans le salon et tu connaîtras la réponse dans 4 à 5 jours.

Angelback

D'accord, j'attends avec impatiente votre réponses !

A bientôt !

Bonsoir Skolir,

J'ai rédigé cette histoire il y a quelque temps c'est-à-dire l'année dernière.
Je ne comprends pas trop pourquoi tu dis ça =s
Pourrais tu m'envoyer un lien de La Rhumerie Sufokienne ou Des Légions de Brakmar ??

Merci.

Malsoir à toi skolir je t'ai déjà rencontré et je veux bien te croire car cette histoire sortie comme ça me paraissait suspecte.
Dans ce cas je pense que cette candidature volée sera annulée car ceci est du vol et ce n'est pas ce que nous recherchons et de plus, good-hony a menti.

Angelback

Bonsoir,

Et bien oui, j'ai d'ailleurs mentionné le fait que le candidat ne m'était pas étranger et que ce texte me le semblait encore moins.
J'ai d'ailleurs retrouvé la preuve qui n'est malheureusement consultable que de quelques personnes, et qui, de plus, a déjà été volé par le candidat qui en a fait son histoire sur le forum de la guilde Olympe, à cette adresse.

Que les candidats soient avertis, je suis une fouine, une vraie !


La candidature est donc annulée.

Ah, au fait : que tu sois Ploopsy, Gold-hony ou Capuccin-heal, je t'ai reconnu.

Wahn, héritier de la Brume