"Il y a quelques année de cela, dans le village dans la cité lumineuse de Bonta, naquit Folius, fils de deux mercenaires bontariens. Les parents de Folius croyaient dur comme fer au principes énoncés des fondateurs de Bonta : Protéger les plus faibles contre le mal, combattre Brakmâr, cité des vices. En revanche, Aille Tekh, le grand-père maternelle de Folius, n'avait jamais cru ne rien qu'un seconde à ce que racontaient les bontariens à leur sujet, il savait que Bonta n'avait pas été créée pour faire régner le bien, mais pour combattre le mal, et la nuance n'est pas des moindres. Aille était un aventurier qui vivant aujourd'hui dans un petite maison du mouvementé village de Sufokia, il ne se préoccupait pas des querelles entre bontariens et brakmâriens. Lui ce qu'il aimait, c'était traqué les brigands, les vrais, ceux avec leur trogne sur les affiches de prisons, ceux qui faisaient trembler rien qu'en citant leur noms. Folius avait donc grandit en attendant son grand-père lui raconter ces aventures d’antan. Cétait un enfant intelligent, mais quelques peu sournois. Il aimait jouer des tours à ceux qui le prenait pour un imbécile.  Il eut donc une enfance heureuse, riche en histoire enivrante et en tour roublards … Mais, alors qu'il allait sur ces douzes ans , il apprit la disparition de ses parents, morts au combats en voulant défendre un village de paysans des plaines de Cania face à un raid d'une troupe de Brakmâriens. Cette nouvelle mit un terme à son enfance insouciante. Mais Folius ne porta pas ça haine sur les Brakmâriens, je vous l'ai dit plus haut, il est intelligent le bougre. Il comprit que la faute était autant bontarienne que brakmârienne . Il décida donc de rester neutre à jamais quand à ces conflits meurtriers et sans fins que ce livraient Bonta et Brakmâr. Il passa donc le reste de son adolescence à séparer les jeune bontariens et brakmâriens qui s'affrontaient . Ils auraient donc pu prêter allégeance au dieu Feca, mais Folius ne se mettait pas au milieu du tas pour encaisser les coups à la place des autres, il se cachaient dans un coin et piégeait les alentours avec ces inventions ingénieuses. Ces dernier, agacés par les piège qui les empêchaient  d'aller castagner leurs adversaires, abandonnaient vite leurs intentions pour aller vaquer à autre chose . Mais au file des mois, les jeunes et intrépides alignés découvrirent le responsable de leur incapacité à distribuer des mandales, et décidèrent donc d'aller lui apprendre à ce mêler de ce qui le regardait. Bontariens d'un côté, brakmâriens de l'autre, ils avaient encerclé le jeune sufokien, et se préparaient à lui remettre les mandales épargnée lors des précédentes tentatives de bataille. Paniqué, Folius couru se réfugier dans la grange qui lui servait d'atelier. Il  repensa aux paroles de son grand-père : «  Ils ont pu d'oxygène dans leur scaphandre ( expression Steamer désignant quelqu'un qui n'a plus toute sa tête, ou qui s'apprête à se noyer ) tous ceux-là, tous ceux qui passent leur temps à se cogner sans vraiment savoir pourquoi, et ça se moque des iops eux au moins, ils ont encore l'innocence d'être stupide ... » alors que les pas des autres jeunes du villages se rapprochaient de la grange, Folius était tapis dans un coin sombre, la tête entre les genoux. Les jeunes bourrins s’approchèrent de lui ; cornus et auréolé côte à côte. Une fois la bande au milieu de la pièce, la porte de la grange se referma d'elle même dans un long grincement. Folius se leva, une main dans le dos, et un sourire étrange se dessina sur son visage. Puis il sorti lentement la main de son dos, laquelle tenait en son creux une télécommande. Un petit rire satisfait s'échappa des lèvre de Folius, puis il pressa le bouton … Les 5 minutes qui suivirent ne furent que hurlement et explosions. Plusieurs machine s'étaient déployer autour du groupe lors de la pression du bouton, et des bombes à eau bouillante fusèrent des canons pointé sur le tas de jeunes. Tous prirent leurs jambes à leur cou, trempé et ébouillantés. Folius, se retrouva seul dans sa grange. Petit à petit il réalisa ce qu'il venait de faire, et couru raconter les événements précédents à son grand-père. Aille eût une brève lueur dans les yeux. Il saisit Folius par la manche et l'emmena au temple d'Octapodas. Il fit lire l'histoire de ce dieu aux pouvoirs démesurés à Folius. Aille avait compris, Folius était prêt. Il n'aurait plus à écouter les histoires de son grand-père, ils était l'heure qu'il écrive la sienne. Cette nuit là, Folius passa une nuit blanche. Comment s'endormir après l'annonce de son grand-père : «  Il est temps pour toi de quitter le nid et de voler de tes propres mecha-ailes ! Demain, tu retourneras seul au temple d'Octapodas et tu lui jurera fidélité. Tu seras réincarné à Incarnam, la cité volante où j'ai moi-même fait mes premiers combats. Je suis fier de toi Folius. »  Tous ce déroula comme Aille le lui avait expliqué. C'est ainsi que le 11 Descendre de l'année 643, Folius se retrouva affublé d'une cuirasse resplendissante, et à son étonnement, d'un monocle, d'une petite moustache qu'il trouvait très à son goût et d'une barbichette qui accompagnait bien le tous. Mais cela lui importait peu, pour lui, il était enfin temps de se mettre aux Boulons !"

Finalement, Moi, Folius, jure allégeance au monarque de la brume et à son royaume. Que la brume m'emporte si je faillis à cette tâche.

Sur-ce, que les tentacules d'Octapodas protège la brume de son encore, cordialement, Folius