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 Myriade, la petite princesse

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Miryade

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MessageSujet: Myriade, la petite princesse   Myriade, la petite princesse Icon_minitimeMar 2 Nov 2010 - 5:34

[HRP] ce texte est la vie de Miryade avant sa postulation pour le royaume de la brume. Il n'a pas été utilisé pour la candidature car une partie de celui-ci a déjà été utilisé pour l'application au clan mercenaire les Illiums, une candidature différente était de mise. néanmoins, ce texte explique beaucoup de choses sur Miry et éclaire sur ses motivations futures.[/HRP]


Dans le sous-sol d’une des plus grandes maisons d’amakna était rassemblé dix personnes autour d’une table, tous des nobles. En premier, Abram et Magalie Reich, noble distinguées de la cour du roi Allister. À leur côté Marc Branaker, Frère de Magalie Reich et l’un des puissant dirigeant de l’armée d’Allister. Occupant le quatrième et cinquième siège nous trouvons Mestral et Vesta Dirudan, parents de Marcorel Dirudan. La sixième position est prise par Marcorel Dirudan, l’homme qui, par décision des deux familles, deviendra le mari de Miryade Reich. Le septième siège était occupé par Maurice Reich, le frère d’Abram. Enfin, les trois derniers sièges sont occupés par trois officiers de la garde d’Amakna : Artix, Minarix et Maria. Les discussions semblent aller de bon train et l’atmosphère semble tendue. Après quelques minutes de discussion et de dispute Abram Reich pris la parole avec un voie forte et imposante.

-S’il vous plait! L’heure est grave et je dois vous parler du pourquoi je vous ai convoqué ici ce matin. Il y a de cela dix heure notre fille Miryade a pris la fuite et aucun de nos serviteurs, même pas Charles, a réussi à la retracer.

-QUOI! Comment osez-vous nous annoncer une telle nouvelle à deux mois du mariage!

C’était Mestral Dirudan qui c’était exprimer, pour ce petit noble le mariage entre son fils et Miryade n’était en aucun cas négociable. Si ce mariage arrivait à terme la famille Dirudan donnerait toutes ses terres à leur fils qui prendrait le nom des Reich mais ils gagneraient une notoriété sans précédent!

-Toi tu te la ferme ou j’te fais ravaler tes dents! Continue Abram.

C’était Marc Branaker, l’oncle de Miryade, ce grand guerrier a entrainer une grande partie de la garde du roi Allister et avait plus d’une fois prouvé la bravoure et sa compétence au combat. Marc fut la personne la plus proche de Miryade. Lorsqu’elle eu dix ans la jeune fille exprima un désir de plus en plus présent pour l’action, le combat et l’aventure. C’est à ce moment que Marc fit son entrée dans la vie de la jeune fille. Ne pouvant pas visiter la famille Reich souvent pour cause professionnelle il demanda à Magalie et Abram d’emmener l’enfant avec lui pour lui faire voir le monde. Ce fut le premier d’une longue série de voyage pour la jeune Miryade, voyages qui ont changé à jamais sa vie. Marc ne perdit pas de temps à vérifier si le désir d’aventure de l’enfant était qu’une simple folie passagère ou une vocation. Quelques jours ont suffi pour vérifier la volonté de la jeune fille pour cette vie d’aventure. Lors de la marche vers bonta le combat éclata, les brakmarien avaient tendu une embuscade croyant que le convoi était chargé d’arme pour bonta. Marc contrôla rapidement le combat mais un félon réussit à passer les défenses des Amaknéen. Sa cible? Bien sur ce fut la fillette qu’il pouvait tenir comme otage et l’utiliser pour obliger les soldats à la reddition. Ce fut une réaction instinctive qui sauva la vie de Miryade, une chance que seul un dieu peut vous donner. Le brakmarien sauta dans la caravane où était caché l’enfant et la prit par les cheveux et la tira rapidement vers lui. Par chance, avant de partir au combat Marc avait donné une dague toute simple à l’enfant et lui avait fait promettre de l’utiliser sans douter si elle se trouvait en danger. C’est ce qu’elle fit, elle attaqua à l’aveuglette cet ennemi et sans vrai technique. Le félon je s’attendais jamais à un tel geste d’une gamine qu’il croyait totalement apeurée, il n’eut donc pas le réflexe d’esquiver ou de parer le coup. Le brakmarien reçu le coup directement au front et en mourût sans pouvoir blesser l’enfant. Quel ne fut pas la surprise de Marc à son retour, un cadavre frais aux pieds de sa nièce qui tenait encore l’arme de peur que son ennemi se relève. L’éducation guerrière de la jeune fille commença dès le lendemain. Marc ne c’était jamais marier et la lignée des Brakaner allait s’éteindre après lui. Cependant, le sang des Branaker coulait dans les veines de Miryade, sa mère étant elle-même une Branaker. L’idée qu’elle pouvait devenir une combattante charmait son oncle. Cependant, Marc ne voulait pas que son héritière soit qu’une combattante, elle devait devenir LA combattante, elle devait le surpasser! Il commença par l’initier aux préceptes du dieu Iop. Au grand plaisir de Marc, Miryade devint rapidement une disciple et fut prête à apprendre le combat.

Cependant Abram ne voyait pas une vie de guerrière pour sa fille. Elle était une noble, une sang pure. Son destin devait d’être une dame de la cour et de représenter la famille Reich. L’idée de Marc d’en faire son héritière ne lui plaisait pas du tout. Cependant pendant le jeune âge de sa fille il se dit que cet intérêt pour l’aventure était passager et qu’elle retournerait bientôt à son éducation de jeune femme dans l’optique de trouver un mari. Cependant la jeune disciple ne retourna pas à son ancienne vie, elle redoubla d’ardeur dans l’entrainement et dépassa toutes les espérances de Marc. À douze ans elle était plus efficace guerrière que la plus part des écuyers qui s’entrainaient depuis leurs plus jeune âge. C’est à cette époque que Marcorel entra en scène. Ce jeune disciple de Feca avait dix-sept ans à l’époque. Marcorel fait parti de ces nobles qui nourrissent l’idéologie qu’une femme doit rester au foyer et attendre son marie, elle est présente pour être belle devant les invité de l’homme de sa vie. En voyant Miryade en entrainement il fut subjugué par la jeune disciple. Son projet était simple, lui montrer qu’il était plus fort qu’elle pour qu’elle désire l’épouser pour sa protection. Pauvre marcorel, jamais il ne s’attendait à trouver une disciple rigoureusement entrainé par le grand Marc Branaker. En moins de deux il tombât sous les coups de la jeune fille. C’est Marc lui-même qui empêcha la jeune iop de trop le violenter. Le disciple de feca compris alors que séduire la jeune combattante par le combat ne servirait à rien.

Quelques jours après le duel contre Marcorel la jeune disciple partie en voyage pour quatre ans avec son mentor. Ce voyage d’anniversaire était en fait qu’un camouflage pour un entrainement en terrain et de survie. Bien sur Abram avait bel et bien refusé de laisser partir sa fille, ayant peur qu’elle aille se battre contre de jeune prétendant de bonta. En effet l’épisode avec Marcorel était arrivé aux oreilles du grand noble qui avait été très insulté que sa fille n’ai pas eu un comportement de dame avec un jeune homme de caste. Marc du négocier fermement avec Abram pour qu’il la laisse partir. Ce voyage couta très cher au mentor qui donna tout son élevage de dragodinde, il est bien question ici des dindes, enclos, personnel et tout ce qui viens avec. Peu importe, il était prêt à se ruiner pour que son élève lui succède. Il est écrit dans les archive que Marc Branaker pris son congé de l’armée le 28 Javian 636, raison du motif : voyage autour du monde et instruction de sa nièce, date de retour en service : le 14 flovor 640.

Marc et Miryade partirent en direction de sufokia, le voyage se fit à pied et les nuits seraient à la belle étoile. Contrairement à ce que Marc laissait percevoir dans la vie de tous les jours le lien qui l’unissait à Miryade était extrêmement puissant. Il la considérait comme sa propre fille et elle lui portait un respect immense, un respect plus important que ce qu’elle n’a jamais porté à ses parents. La première année de voyage ne fût pas très excitante, l’entrainement journalier était au rendez-vous et la jeune disciple n’était pas encore prête pour les grands combats. Cependant elle eu le temps de visiter tous les recoins d’Amakna et de Sufokia avec son oncle. C’est à partir de la seconde année que l’aventure débute pour vrai. La jeune disciple avait pris du poil de la bête et s’apprêtait à partir pour Cania avec son mentor. Le jour du départ un garde du château montant une dragodinde arriva à la hâte avec un message pour Branaker. La fille d’Allister avait été kidnappée par les roublard et ces bandits de grand chemins exigeait la couronne royal comme rançon. Par le passé Marc avait dût infiltrer le repère des bandits à mainte reprises et pour diverses raison. Bien qu’il était en congé il accepta la mission et décida que Miryade devait l’accompagner, une mission de terrain est le meilleur apprentissage disait-il. Le plan était simple, les deux compagnons infiltraient la base ensemble et Miryade s’occupait de faire évader la princesse pendant que Marc s’occuper des gros bras qui poseraient problème. Si jamais quelques faiblard passaient le grand combattant la jeune disciple aurai tôt fait de s’en défaire. Entrer dans le repère fut, comme prévu, un jeu d’enfant. En fait le repère semblait vide, comme si tous les roublard avaient déserté pour on ne sait trop quel raison. En fait tous les roublard étaient regrouper dans la même salle, au centre de la salle se tenait leur chef… et la princesse. Après quelques minutes d’écoute les deux compagnons comprirent ce qui se passait, le clan débattait du sort de leur captive en cas que le roi refuse de leur donner la couronne et le trône. Après quelques minutes à réfléchir Marc regarda Miryade et lui dit : « dès que je les disperse taille toi un chemin et sort la de la, je te rejoins à Sufokia. » Il ne le répèterait pas deux fois et elle le savait. Sans avoir le temps de donner d’objection, ce qui aurait été inutile avec son oncle, Branaker pris sa lame et avança vers la troupe de malfrat. « Et si vous me la rendiez vous épargnerez ainsi vos vie… » dit-il d’un air arrogant. Bien sur son entrée ne fit pas beaucoup d’heureux. Sans attendre de réponse ou de menace il se rua vers le chef pour le séparer de la fille. C’était le signal, armée de son épée la jeune disciple de Iop canalisa sa puissance et utilisa une épée du destin pour diviser la mêlée. Le chemin fait elle courut chercher la princesse comme son oncle le lui avait ordonné. Elle prit le bras de la princesse et lui dit de la suivre sans questions, ils n’avaient pas le temps. À peine avait-elle eu le temps de rejoindre la princesse que la mêlée s’était refermée et, cette fois, une simple épée du destin ne séparerait pas cet épais combat qui venait vers elle. Elle prit donc l’épée que son oncle lui avait offert en cadeau et dit : « Rester à mes côté altesse, je vais vous sortir d’ici. » Dès que la princesse approuva Miryade avança rapidement avec la princesse pour se frayer un chemin. Marc avait déjà attiré les puissants roublard de son côté, il ne restait donc qu’une grande quantité de brigands de pacotille à trancher, ce qui était parfait pour la jeune disciple qui n’aurai jamais eu la force de tenir un lourd combat contre des hommes entrainés. C’est à grand coup d’épée que Miryade se tailla un chemin, mains, bras, pied, tête, elle mit chaque mouvement que Branaker lui avait enseigné à l’œuvre. Rapidement elle réussit à se tailler un chemin, les cours de stratégie avaient porté fruit. Elle emmena la princesse vers Sufokia sans se soucier de leurs vêtements imbibés de sang. La jeune fille et sa protéger arrivèrent à Sufokia dans un état lamentable, personne ne reconnaissait la fille d’Alister et c’était surement mieux ainsi. La princesse regarda quelque peu celle qui venait de la sortir du pétrin, image peu appétissante, Miryade était parvenu à Sufokia grâce à l’adrénaline mais, contrairement à la princesse, ce n’était pas le sang de ses ennemis qui imbibait ses vêtements mais bien le sien. Elle n’avait reçu que deux coup, seulement deux, le premier s’était abattu sur l’épaule droite et avait complètement fendu la clavicule, quel chance que l’adolescente était gauchère. Le second n’avait pas la chance d’être bloquer par un os, la lame qu’elle reçu s’enfonçât entre la neuvième et la dixième côte avant de toucher le bas du poumon gauche. La princesse n’eu que quelques secondes pour remarquer ces deux entailles que Miryade s’effondra inerte, l’effet de l’adrénaline était passé la douleur avait eu le dessus.

Miryade pris un mois entier pour soigner ses blessures, marc la garda à Sufokia ou il décida d’entrainer l’esprit de sa nièce. Malheureusement ce voyage n’est pas marquer d’autre haut fait de la part de la disciple. Marc l’entrainât au combat, la format pour qu’elle devienne une redoutable guerrière et ils revinrent au bout de quatre ans.

Miryade revint comme promis le jour de son seizième anniversaire. Elle était devenue une jeune femme forte et belle. Personne, pas même ses parents, aurait pu reconnaitre la jeune femme si Marc n’aurait pas été présent. Ses cheveux courts avaient poussé, une longue tresse rouge sang descendait le long de son dos. Elle portait un bandeau turquoise et une toge turquoise, une armoirie ornait ses vêtements, l’armoirie des Branaker. Dans ses yeux une lueur de fierté, une force que l’on ne lui avait jamais vu brillait. La jeune femme qui se présentait au château n’avait rien d’une dame, c’était une guerrière forte et fière. Les plus attentifs pouvaient remarquer un tatouage sur le dos de ses mains. Sur sa main droite, la main ou elle portait le bouclier, était graver l’armoirie des Reich. La main gauche, la main de l’épée, portait l’armoirie des Branaker, une lignée qui avait abritée quelques un des plus puissants guerriers de l’armée d’Allister. L’enfant était devenu une vrai disciple de Iop, elle était une séduisante et magnifique femme. Elle était heureuse d’être revenu chez elle. Miryade Reich n’existait plus dans son cœur, la jeune femme qui rentrait chez elle était Miryade Reich-Branaker. Oui elle avait choisi à bonta de représenter les deux familles et d’accepter l’héritage militaire de son oncle, la lignée renaissait de ses cendres.
Cependant, la joie ne fut que de courte durée, Abram était fou de joie et fous de rage par la même occasion. Comment sa fille pouvait épouser Marcorel maintenant? Oui! Pendant la longue absence de Miryade, Marcorel avait convaincu ses parents de négocier un mariage arrangé. Étant donné qu’il ne pouvait avoir celle qu’il désirait par sa force et sa valeur il avait décidé d’utiliser les enjeux politiques pour forcer l’union et mettre la guerrière au fer. La suite fut fort simple la jeune femme s’enfuit, ce qui nous ramène à aujourd’hui.

-Merci Marc… Comme je disais Miryade s’est enfuie et je crois que nous connaissons tous la raison.

-La raison c’est lui! C’est ce Iop sans cervelle!

Marcorel s’était levé et pointait Branaker. En moins de temps qu’il ne faut pour dire Iop le feca reçu une chaise en orme par la tête.

-QUOI! Si tu ne te ferme pas maintenant il n’y aura bientôt plus de problème de mariage compte sur moi! Obliger un esprit libre comme Miry à s’enchaîner à un type qui ne lui arrive même pas à la cheville c’est une honte!

-Marc! Calme-toi!

C’était l’une des rare fois que Magalie Reich haussait le ton. Elle était une femme calme et posé. Tous les Branaker sont des guerrier mais l’épée et la lance n’étaient pas des arme appropriée pour cette femme, l’arène politique était son champ de bataille. Elle avait choisit Abram comme mari pour plusieurs raison : l’amour bien sur, mais aussi, cet homme avait un pouvoir politique et il acceptait de voir sa femme devenir influente. Bien sur Abram savait qu’il ne pourrait jamais empêcher une Branaker de se battre mais… sa fille c’était autre choses, il ne voulait en aucun cas que son unique enfant meurt au combat.
-Magalie a raison Marc, calme toi. Ce garçon est un imbécile mais ne met pas ton honneur en péril pour lui…

C’était Maurice Reich qui venait de parler, ce vieil homme de principe. Il avait été le premier à accueillir Miryade lors de son retour et avait pu voir tout le potentiel de la jeune femme, potentiel qui l’avait conquis au premier regard.

-Alors qu’est-ce qu’on fait?

Maria avait parlé, peu de choses à dire sur elle sinon qu’elle était parmi les trois gardes qui devaient la retrouver.

-Commençons par faire un topo de tous les endroits ou elle pourrait allez… c’est assez large vu que Marc lui a faire visiter le monde… dit Abram

-C’est assez simple elle restera à Amakna pour l’instant, le territoire lui est le plus familier, elle n’ira pas au delà des bordures du château sans être sur qu’il n’y a pas d’autre solution.

C’était à contre cœur que Marc avait parlé. Cependant ils devaient la retrouver, étant noble elle avait des devoir elle aussi.

-Alors nous nous séparons, nous revenons dans deux heures ici. Compris?

Tous hochèrent la tête et sortirent de la maison. Les recherches furent courtes pour Branaker. Il connaissait sa nièce comme personne, elle était au temple de iop.

-Je savais que tu serais ici…

La jeune femme sursauta et se mis en garde sans hésité.

-Non! Je n’y retournerai pas et je ne l’épouserai jamais!

-Quoi! Tu oses lever ta lame sur moi? Tu mériterais que je te livre à eux!

Surprise de la répartie de son mentor elle baissa immédiatement sa lame.

-Bon… c’est mieux. Miry, tu va partir vers Astrub, le royaume de Fallanster. Mais avant tout change toi tu ne peux pas porter les armoiries durant ta fuite.

-Non! Je ne me séparerai pas de votre cadeau! Notre famille est trop importante!

-Alors met ceci, reste couverte comme une mendiante jusqu’à ton arrivé à Astrub et prend cette bourse pour payer les Zaap. Je vais couvrir ta fuite. Au fait, ne reviens pas avant d’avoir soit régler le problème du mariage ou acquise une réputation
suffisante pour être libre, tu es une Branaker ne me déçoit pas.

-Promis!

-C’est un cadeau et puis, je ne veux pas te voir prise avec cette tête de feca… si tu le croise met lui une bonne raclé de ma part.

-Vous pensez vraiment qu’il survivra à deux raclé alors?

Elle avait parlé en riant. N’attendant pas la réponse de son mentor elle prit le peux de choses qu’elle avait et parti vers la cité de Fallanster.

Malheureusement pour nous elle ne rencontra pas Marcorel… heureusement pour lui. Elle courut vers Madrestam ou elle prit le Zaap pour Astrub. Plusieurs jours passèrent alors qu’elle ne savait pas comment faire pour obtenir la réputation qui la libérerait jusqu’à ce qu’elle entende parler d’un clan. Ce clan de mercenaire défendait astrub et jouissait d’une notoriété qui faisait baver les plus aguerris. Elle devait en faire parti et obtenir un rang respectable, elle se devait d’inscrire le nom des Branaker dans les plus hautes sphères de cette organisation! Elle partie vers leurs repère pour y être recrutée.

Avec plusieurs semaines d’effort la jeune disciple de iop intégrât le clan des Illiums. Elle s’impliquât du mieux qu’elle put dans l’illustre clan et y appris beaucoup. La voie de l’air devint sa prédilection et devint une redoutable guerrière rapide et efficace pour parer les coups. Cependant elle recherchait quelque chose de plus… une attache plus forte que les mercenaires, sur des bases différentes… mais quoi. Elle chercha pendant plusieurs mois ce qui lui manquait, qu’est-ce qui pouvait bien combler le vide qui la tracassait? Elle avait beau chercher mais rien ne semblait combler ce besoin d’appartenance que les mercenaires ne lui fournissaient plus, plusieurs membres du clan étaient très absents et l’ambiance en souffrait beaucoup. Il lui fallut plus d’un mois pour trouver ce qui lui manquait, une guilde. Mais, pas n’importe quelle guilde, une guilde ou les liens entre membres sont aussi fort que ceux d’une famille. En effet, sa famille lui manquait, énormément même. Mais elle était persuadée que Marcorel était toujours dans l’idée de la mariée au plus vite… Elle observa longuement les différentes guildes qui étaient active dans le monde, cherchant celle qui lui conviendrait. Puis elle rencontra le clan Ehl, une guilde ou chacun pouvait trouver sa place et son bonheur dans le respect des autres et la bonne entente. Elle s’intégrât rapidement a la guilde et s’y fit des compagnons qu’elle n’oubliera jamais, peu importe ce qu’il pouvait lui arriver par la suite. De cette guilde les deux personnes dont elle se rapprochât le plus fut Wahn et Nephetis. Est-ce qu’ils avaient quelque choses de plus que les autres, surement pas, ils devaient seulement être fait pour s’entendre. Quelques temps passèrent et les choses commençait à bien rouler pour la jeune femme qui aurai dut passer ses journée à la cours en compagnie de sa mère. Tout allait pour le mieux jusqu’à l’apparition d’un tofu. Le petit animal jaune tenait à sa patte une lettre portant le sceau de sa famille, le sceau des Branaker. Aucun doute, avant même qu’elle n’ouvre la missive elle le savait, son oncle avait besoin d’elle. Voici le contenu de la lettre :

Chère nièce, je me prépare pour un grand voyage au-delà des eaux connues, vers l’est au dela de Pandala. Bien que je sais que tu commences à t’habituer à ta nouvelle vie je te demande de venir avec moi, une découverte formidable nous y attend. je l’ai trouver, ne pose pas la question, je sais que tu sais très bien de ce que je parle. Rejoins moi à madrestam après demain au coucher du soleil, nous partiront incognito.
N’en parle à personne!
Marc

Il l’avait trouvé? Comment? Pouvait-il avoir retrouvé le journal? La lame d’Elliana, cette épée qui avait fait la puissance de sa grand-mère, Makalia Branaker. Selon la légende l’épée avant adoptée la forme d’un sabre Ayassalama, mais elle n’était rien de ce qu’elle paraissait être. Elle n’avait pas le choix, les sept items étaient la piste la plus efficace pour comprendre ce qui était arrivé à sa grand-mère, elle ne pouvait décevoir son oncle devant une demande aussi importante. Elle prit donc ses affaires et ouvrit la porte de la maison du clan. Avant de sortir elle se retourna, elle était entrain de quitter ceux qui l’avaient accueillit sans rien dire et cela lui brisait le cœur. Après avoir versée quelques larmes elle quitta en courant.

Le voyage d’allé fut calme et serein, peu de vague et aucun nuage à l’horizon, tout était mis en place par le destin pour que le navire trouve cette ile mystérieuse que Marc cherchait. Le voyage d’allé pris plus d’un mois. Un mois entier avant d’avoir l’ile en vue. En mettant le pied sur la plage Marc regarda sa nièce et dit : «Miry… c’est ici que le danger commence, soit sur tes gardes. Celui de nous deux qui la trouvera en deviendra le ou la propriétaire. Ce sera au propriétaire de découvrir ce qui est arrivé à mère, donc je compte bien la trouver avant toi.» et il partit immédiatement après avoir parlé. La jeune disciple le regarda partir et ferma les yeux, quelque choses n’allait pas sur cette ile, elle sentait un poid pesant sur ses épaules. Elle se décida à avancer mais plus elle s’enfonçait dans l’île plus son intuition féminine lui indiquait la voie la plus rapide pour trouver ce qu’elle cherchait et repartir. Après trois heures de recherche elle entra dans une clairière, le blé doré semblait y pousser avec vigueur et donnait une allure resplendissante à cet endroit vide de toute vie. Au centre de la clairière un coffre, un coffre tout simple, était déposé sur une grande pierre. La jeune femme l’ouvrit, elle y était, la lame était là. Elle prit la lame et la lâchât immédiatement, se mettant les mains sur les tempes. Une vision, une femme à la chevelure de feu, portant les armoirie des branaker. À sa main, ce sabre. Elle se semble se tenir fièrement sur une montagne regardant le monde autour d’elle. Se pouvait-il que cette femme soit sa grand-mère? Si oui pourquoi l’avoir vu en touchant la lame? Est-ce qu’elle en verra plus si elle retente l’expérience? Miryade voulait absolument réponse à ses questions, elle reprit donc la lame sans hésitation. Rien… rien ne se passe cette fois-ci, peut-être que la lame avait délivré son message et qu’elle n’en délivrerait plus aucun autre après tout. Elle retourna donc au navire et attendit son oncle avec le sabre à la main. Quand le grand guerrier arriva ses yeux devinrent ronds de surprise. Il la regarda et dit : «tu… tu l’as trouvé! Elle est magnifique.» Puis, tout en s’approchant vers elle, il sortit un livre de son sac. Le livre était en mauvais état, des pages semblaient arrachées et la couverture était trouée par endroit. «Voici le journal de mère, il te revient. Ce sera à toi de découvrir ce qui lui est arrivé. À partir de maintenant c’est ta responsabilité!» À ces mots la jeune femme ne répondit rien d’autre qu’un signe de la tête approbateur. Elle ne révélera jamais à son oncle qu’elle avait vu Makalia en touchant la lame.

Dès que le navire repris la mer pour le voyage de retour la jeune femme descendit mettre la lame dans ses cartier, elle était beaucoup trop exotique pour qu’elle puisse la manier, elle apprendrait avec le temps. En entrant dans sa chambre tout le navire tremblât! Elle fit demi-tour sans même avoir pris le temps de déposé la lame si précieuse et courut vers le pont. Avant même de pouvoir parler elle fut projeté contre le mat, une violence telle qu’elle senti le sang entrer dans ses poumons et le crachat aussitôt. Ce qu’elle vit avant de s’évanouir était du jamais vu, une créature semblable à un dragon s’enroulait autour du navire et approchait sa tête dans sa direction, elle devait être son prochain repas. Juste avant de sombrer dans le coma elle entendit la créature lui dire : «Ne lui laisse pas la chance de te contrôler ou tu périras.»

Trois mois plus tard elle se réveillât, la lame était cachée dans son coffre personnel à la banque avec le journal de sa grand-mère. C’est donc avec la ferme intention de découvrir la signification des paroles du dragon et ce qui est arrivé à sa grand-mère que Miryade quitta, après avoir repris des forces bien entendu, le château pour retrouver le clan Ehl.

[HRP]Viendra éventuellement le contenu du journal de Makalia Branaker qui est toujours en cour d'écriture[/HRP]
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Myriade, la petite princesse

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