Je me nomme Kyllarrior et je suis un disciple de Sram. Mon cercle est actuellement de 30, mais je pars beaucoup à la chasse et je m'endurcit rapidemment.
Petit, mes "parents" ont remarqués que j'arrivais, malgré mon jeune âge, à soulever des charges importantes. J'ai donc continuer dans cette vois, la force.
J'aime m'entraîné avec des membres de ma guilde, récolter des objets, mais aussi discuter près de ces objets qu'on apelle des Zaaps.
J'aimerais devenir puissant, et être reconnus par tous. Mais je ne pense pas qu'à tuer. Je ne suis pas pressé, j'ai tout mon temps pour atteindre mon objectif.
Pour l'instant, je ne suis pour aucun partit, mais je songe à devenir Brâkmarien, comme mon père.

On m'a dit que j'était née un Vendredi 13, une nuit d'orage. Surement, car la chance n'a jamais été avec moi.
Jusqu'à l'âge de 6 ans, je fut élevé avec amour, avec mes frères et soeurs. Nous vivions à Brâkmar. Vous pensez que le mot amour n'existe pas à Brâkmar ? Et bien si, il existait.
Mon père sévissait souvent, mais il faut dire que, à 5 ans déjà, je faisait les 400 coups avec mes frères et soeurs.

Bref, j'ai eu une enfance joyeuse. Mais le jour de mes 6 ans, alors qu'on s'apprétait à couper mon gâteau d'anniversaire, quelqu'un frappa à la porte. Un milicien. Il venait chercher mon père, qui était gradé 8 étoiles. Une guerre se préparait. L'Aurore Pourpre, je crois que c'était son nom.
Mon père partit, en nous laissant là, seuls, ma mère, mes frères, mes soeurs et mon gâteau. Seuls.

Le lendemain matin, dès l'aurore justemment, les combats commençâmes. Des cris. Du sang. Oui je m'en souvient. Des morts dans la rue du Chatbrulé. Beaucoup.
Tout à coup, un Iop, avec des ailes blanches, grandes et majestueuses me prit, comme ça. Mes frères lançaient des sournoiseries, mais rien n'y fit. Il ne me lâcha pas. Mes soeurs pleuraient. Ma mère aussi.
Pendant qu'il me mettait dans le chariot, je vis des miliciens ennemis se ruant sur ma famille. Je ne vit pas ce qu'ils leurs fit, quelqu'un me banda les yeux. Le Iop surement.

Le chariot se mit en marche. Les cris s'éloignait.Ma famille aussi.

Pendant la route je discuta avec les autres enfants enlevés. L'un deux me dit que nous allions servir d'esclaves à la cité Bontarienne. Moi, un eslave ! Jamais.
De toutes mes forces, je réussis à lancé un piège sournois sur la route du chariot. Les yeux bandés qui plus est. Le chariot s'arreta, et le chauffeur alla voir ce qui se passait devant. Il était seul, j'en était sur. Prenant mon courage à deux mains, je sauta du chariot, et je courus les mains devant, sans m'arreté, les yeux bandés.

Ca y était, je m'était enfui. Le chauffeur avait arrête de me poursuivre depuis longtemps. IL ne devait plus être très jeune.
Je m'arrêta aux bord d'une mare, je sentait l'odeur. Aux bord de l'eau, je trouva à tâton une pierre tranchante. Je coupa le liens qui me bandait les yeux. Que c'était bon de retrouver enfin la lumière !
Je bus, je me reposa et je tua quelques bouftons pour ne pas mourir de faim. J'étais seul, et je le resterait encore quelques temps.

Plus tard, je vit, au loin, les murailles d'une grandes cité. Le panneau indiquait Astrub, la ville des mercenaires. J'avais trouver une maison.

Et je passa 7 ans, à m'entraîner, aux calanques, dans la plaine de Cania ou encore dans la forêt en nourissant cette rancoeur au Bontariens.
Et puis un beau jour, je trouva l'annonce du Royaume de la Brume. Un miracle pour moi.
Je me dépêcha de rentrer au foyer, de préparer mes affaires et je partit de ce pas pour l'Antre de la Brume.