Archer-Forever, pour vous servir !
Salutations à vous,
Je m’appelle Niels, 15 ans bientôt seize, lycéen en 1ère S, joueur depuis 3 ans au MMORPG DOFUS et amateur de JDR papier.
Depuis mes débuts sur Dofus, je joue un crâ nommé Archer-Forever de cercle 165, sur le serveur Silvosse (mais qui devrait migrer), qui a connu plusieurs guildes ( 3-4), quittées soit pour l’inactivité des membres, soit pour la mienne (une fois), notamment après avoir subi un hack de compte. C’est dans un Dofus Mag que j’ai découvert votre Royaume. Ce souvenir est remonté lorsque l’idée de pratiquer le roleplay dans DOFUS m’est arrivée. Pour information, je joue généralement peu en semaine (les études....) et deux heures chaque week-end sur les deux jours.
Ceci étant pour parler de moi, j’aborde maintenant mon personnage de manière HRP. Comme évoqué précédemment, j’ai pour intention de le faire migrer sur Vil Smisse. C’est mon personnage principal et fétiche, je ne pense donc pas intégrer d’autres âmes dans le Royaume si cela se concrétise. J’aime en général faire les quêtes, pour les dialogues, et le PvM même si je reste un novice dans le domaine.
Avant de laisser Archer-Forever se présenter, permettez-moi de vous donnez ma vision du roleplay. Je suis un novice dans le roleplay Dofus, très novice. J’espère apprendre beaucoup à vos côtés si cela est possible. De mon point de vue, le roleplay permet une nouvelle façon de jouer, le personnage prend une nouvelle dimension qui offre la possibilité d’aborder le monde sous un autre angle.
A présent, je laisse Archer-Forever se présenter.
Chers sujets de la Brume,
Je me nomme Archer-Forever, enfin c’est comme ça que je préfère que l’on m’appelle. En vérité, je suis Archie Trap, un disciple de Crâ. Je suis né le 9 Octolliard 626, dans le quartier des boulangers de Bonta. Je suis le fils unique d’une mère boulangère et d’un père ménestrel trop peu présent. Ce dernier parcourait le monde, enchaînant les concerts dans les tavernes et en laissant ma mère se charger de mon éducation. Malgré une tension entre lui et ma mère, il revenait le jour de mon anniversaire, ignorant le regard noir, essayait de se faire bien voir par son fils puis repartait le lendemain pour « courir le pognon, le cruchon et le jupon » d’après ma mère.
Plus je grandissais, plus je méprisais mon père pour nous avoir laissés ma mère et moi, ne donnant aucune nouvelle et revenant la fleur à la flûte une fois par an.
Le jour de mes treize ans, quelques temps après mon initiation, il m’offrit une guitare et m’apprit les rudiments de l’instrument avant de repartir. Ce fut une révélation, j’aimais la musique, faire vibrer ces cordes, arpenter le manche. Bon j’avoue, au départ ça ressemblait plus à une cacophonie qu’à un concert de Pandalida. Mais j’aimais ça et c’était l’une des rares choses dont j’ai hérité de mon père. En peu de temps, je maîtrisais le tempo de la Bonta Nova ou bien le Rock des Salbatroces.
Puis plus rien, je n’ai jamais revu mon père. J’ai mené une vie paisible avec ma mère, quelque peu satisfaite de sa disparition. Les années passaient, je m’améliorais constamment à la guitare et l’envie de suivre les traces de mon père me remplissait l’esprit, à la grande déception de ma mère. Mais cela n’était pas bien vu à Bonta, les jeunes gens devaient s’entraîner à l’épée, se former à la discipline milicienne car la milice recrutait le plus possible de guerriers pour combattre Brâkmar et elle n’hésitait pas à les enrôler de force. J’aime bien combattre, mais je préfère être libre plutôt que de me plier à une discipline militaire rétrograde.
C’est donc à dix-sept ans que je m’enfuie de Bonta, échappant ainsi à l’enrôlement, pour vivre pleinement mon aventure. J’ai vécu de petits concerts dans des tavernes, tabasser des monstres avec ma guitare à six cordes (pour un crâ, c’est ce qu’on appelle avoir plusieurs cordes à son arc). Bref, la vie d’aventurier classique.
Mais il y a peu, ma vie a pris un tout autre tournant. Après un concert dans une taverne d’Amakna, un drôle de bonhomme m’aborda. C’était un vieil ecaflip qui d’après ses propos, connaissait bien mon père :
«- T’es bien le fils de Passala Trap, le ménestrel ? »
« - Oui pourquoi ? »
« -Je connaissais bien ton père, j’étais violoniste dans ses concerts, ah c’était l’bon vieux temps.... Il m’a donné un truc tiens. Ca pas été facile de te trouver, je t’ai cherché à Bonta mais tu t’étais déjà tiré. J’te passerai les détails sinon on va y passer la nuit. Maintenant si tu veux bien m’excuser, je vais aller pioncer. »
C’était une lettre écrite par mon père qui semblait vieille :
Mon fils,
Je sais que je ne suis pas un bon père et je le regrette sincèrement. Le peu de fois où je t’ai vu, je fus frappé par ta personne, plus tu grandissais, plus tu me ressemblais. Cette ressemblance s’est accentuée lors de ton initiation où tu as choisi la même déesse que moi et lors de ton treizième anniversaire où j’ai vu ton engouement pour la musique.
Je t’écris car je suis sur le point de faire une découverte incroyable. Tu le sais très bien, certaines mélodies influent sur le comportement émotionnel de chacun. Par exemple une mélodie triste te rendra malheureux, mélancolique voire te faire pleurer et te rappeler la mort de Toto ton tiwabbit écrasé par une charrette. Et l’inverse pour une musique guillerette. Or grâce à elles, on peut influencer psychologiquement sur un être vivant, le plonger dans un état second proche de l’hypnose, mais selon des critères musico-acoustico-symphoniques bien précis. Viens me rejoindre dès que possible à Astrub à la taverne, je t’en dirais plus.
Ton père Passala.
Ce n’est que plus tard, en tentant de le rejoindre, que j’appris qu’il était mort brûlé dans sa maison. Afin de l’honorer, j’ai décidé de reprendre ses recherches réduites à néant. C’est pour cela que je me tourne vers la Brume. Des rumeurs circulent à propos d’un royaume caché où des êtres exceptionnels travaillent, inventent, combattent. J’espère donc trouver en votre Royaume un refuge mais aussi une aide pour trouver ce que je recherche, ce qui n’est pas chose aisée.
« Moi, Archer-Forever, jure allégeance au monarque de la brume et à son royaume.
Que la brume m'emporte si je faillis à cette tâche. »